Les malades

Le Christ connaît la souffrance humaine, le supplice de la croix étant la souffrance physique la plus insoutenable qui soit. La Fondation, c'est la voix des souffrants.

Voix de madame Sya :

« J'ai du diabète. Je suis malade et j'ai été opérée du genou. Je n'ai personne pour s'occuper de moi.

Avant, je travaillais dans une école religieuse de La Tibolière. C'était une école privée. Les responsables de cette école ne m'ont pas indemnisée. Ils m'ont envoyée à l'ONA (Office National d'Assurance maladie) mais l'ONA non plus ne m'a rien donné. Pourtant, je suis contente.

Père Hygord Amédée, je vous dis merci. Merci pour ce bon travail. Dieu seul peut vous le rendre. Moi‑même je ne peux pas vous récompenser. Tout ce que je peux faire c'est prier pour vous, parce que je sais combien le chemin que vous suivez est difficile. »

Voix de monsieur Simon :

« Jusqu'à présent, j'étais installé dans un cimetière et après je suis venu habiter ici mais je ne suis pas encore à l'aise. Mon Père, ce que vous venez de faire, c'est le Seigneur qui vous a envoyé pour le faire.

Je suis un homme de 69 ans, je n'ai pas de travail, je n'ai pas de lit, je n'ai rien du tout. J'apprécie énormément votre geste. Quand Dieu vous a donné quelque chose et que vous le redonnez à quelqu'un d'autre, vous devenez une personne bénie.

Fondation Père Hygord Amédée, merci. J'ai entendu parler du père Hygord Amédée à la radio. Aujourd'hui, je suis très content de vous avoir en face. De la même façon que le Christ s'est rendu visible à nos yeux. »